Immobilier : les frais de notaires s’écroulent
Les frais de notaire désignent les sommes à payer à un notaire en contrepartie d’un prestation. Ils sont notamment exigés lors d’une transaction immobilière, en plus du prix d’achat du bien. Il est possible de les anticiper en calculant ces frais.
Les frais de notaire correspondent à toutes les sommes versées à un notaire lorsque celui-ci réalise une prestation. Dans le cadre d’un achat immobilier, il s’agit des frais d’acquisition appliqués au moment d’un achat immobilier. Ils incluent la rémunération du notaire, les débours et les droits de mutation.
Comment calcule-t-on les frais de notaire ?
Afin d’anticiper le montant des frais de notaire, il est nécessaire d’ajouter 8% au prix d’achat d’un bien immobilier ancien et 3% au prix d’acquisition d’un bien neuf qui n’a jamais été occupé. Ces pourcentages correspondent à un calcul approximatif du montant des frais de notaire : droits de mutation, débours et rémunération du notaire.
Quel est le barème des frais de notaire ?
Comment les frais de notaire se calculent-ils ? Les émoluments que perçoit le notaire dans le cadre d’une vente immobilière, plus gros poste de dépenses au sein des frais de notaire derrière les droits de mutation, sont fixés par l’État. Le barème des frais de notaire est composé de 4 tranches de valeur de biens auxquelles est appliqué un pourcentage dégressif.
Les départements où la chute est la plus forte
Les trois quarts aux départements. Alors, avec la chute des ventes, pour certains, c’est la douche froide. De façon globale, en un an, la chute des recettes s’est élevée à 18% au niveau national, et devrait même atteindre 20% en fin d’année. Cette chute a souvent été correctement anticipée par les départements, qui sont généralement très prudents en construisant leurs budgets.
En hausse dans les Ardennes
Sur les 101 départements français, la baisse des droits de mutation est importante. Ils sont même 20 dans lesquels la baisse est supérieure à 20%. C’est le cas en Gironde, dans le Var, le Vaucluse, le Gard, les Yvelines, l’Essonne, l’Eure-et-Loir, ou encore l’Oise, la Somme ou le Nord. Pour 17 autres, la baisse est comprise entre 15 et 20%, et pour une vingtaine, entre 10 et 15%. Sur la grande majorité, elle est cependant cantonnée à moins de 10%. Seul un département affiche une hausse : les Ardennes.